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“Les dégustations qui te donnent envie… de repartir”

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🍷 La dégustation à 25€ qui sent le PowerPoint Je me souviens de cette chaleur d’été qui collait aux joues, d’un gravier trop blanc, d’un portail en fer forgé où trônait une pancarte dorée : “Dégustation, sur rendez-vous, 25€”. Bon, pourquoi pas. Je pousse la porte. À l’intérieur : silence, clim, sourire poli. Un bar en granit, quelques verres alignés comme à la parade, et une hôtesse qui récite son texte avec la ferveur d’un répondeur téléphonique. Je sens déjà que le vin ne suffira pas à sauver l’instant. Il y a des dégustations qui sentent la terre, le bois, la sueur et la joie. Et d’autres qui sentent la plaquette PowerPoint, le marketing calibré et la fin de service. Celles où on te parle du “grand terroir” en regardant l’horloge. Celles où les verres sont dosés au millimètre, comme si on risquait de vider la cave avec une gorgée de trop. Celles où tu ressors sans rien vouloir acheter, pas par radinerie, mais parce que t’as rien ressenti. Aucune vibration. Aucun frisso...

Ces restos qui massacrent le vin à coups de marges

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🔴 COUP DE GUEULE : ces restos qui massacrent le vin à coups de marges (et de verres minables) Tu t’assois. Tu feuillettes la carte. Et là, bim : un Côtes-du-Rhône à 42€, un petit blanc sec à 51€, un “vin nature” vendu comme un élixir divin, sans explication… Tu regardes ton assiette : 18€ le plat. Le vin ? Trois fois plus cher que la bouffe. Et ça, c’est devenu normal. --- 💸 Le vin, nouvelle pompe à fric Dans beaucoup de restos, le vin n’est plus un plaisir, c’est une vache à lait. Bouteilles achetées 10€, revendues 40, 50, voire 60€. Coefficients x3, x4, x5 sans complexe. Zéro conseil. Zéro sommelier. Zéro émotion. Le vin est censé accompagner le repas, pas exploser l’addition. --- 🍷 Et quand tu commandes un verre ? Tu penses t’en sortir à 6-7€ ? Non. 12€ le verre pour un vin acheté 8 la bouteille. Servi tiède. Dans un verre trop petit, trop épais, qui flingue les arômes. Par un serveur qui ne sait même pas ce qu’il sert. 👉 Tu paies cher pour boire mal. --- 🧐 Et on te...

Quand le vin souffre, le resto perd

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Il y a des choses qu’on pardonne facilement à un resto. Une nappe tachée. Une chaise bancale. Même une carte des desserts triste comme un dimanche soir. Mais un vin mal servi ça, non. L’été, surtout. Tu commandes un rouge, et paf : le serveur te dépose un verre à 25°C, presque bouillant, comme s’il avait passé la matinée sur le rebord de la fenêtre, en plein soleil, à écouter Nostalgie. Tu le portes aux lèvres, et ça brûle la bouche plus qu’une lampée de café tiède oublié dans une tasse Ikea. Pas d’arôme, pas de structure, juste une fatigue. Le vin transpire, et toi aussi. À l’inverse, le blanc arrive parfois en mode glaçon. Tellement gelé qu’il pourrait faire concurrence à un Mister Freeze goût citron. Tu sens le froid te clouer les papilles, comme si tu venais de lécher une rampe de métro en hiver. Tu cherches la texture, l’acidité, les arômes, mais tout est congelé dans une capsule polaire. Alors on fait quoi ? Un rouge trop chaud, tu es foutu. Tu peux attendre, tu peux ...